samedi 24 novembre 2012

Que Viva Calexico



Vendredi 23 novembre à Massy Salle Paul B, rue de Québec était programmé l'excellent groupe américain Calexico de passage dans le cadre de la tournée européenne faisant suite à la sortie de son magnifique dernier opus Algiers.

A 20 heures 15 Mumu et moi pénétrons dans le centre culturel, connu pour son excellentre programmation musicale. La salle où va se dérouler le concert est toute petite, ce qui nous promet un spectacle intimiste. Nous installons tout contre la scène en son milieu, la meilleure sans aucun doute. C'est d'ailleurs étonnant mais les premiers arrivés sans doute par souci de confort préfère s'installer au balcon et dominer la scène. 
21 heures arrivée sur scène du groupe américain Blind Pilot, originaire de Portland Orégon, ville qui est peut être entrain de devenir la capitole du rock américain. Composé d'Israel Nebeker, vocaux et guitare,acoustique, Ryan Dobrowski aux drums et percussion, tous deux fondateurs du groupe de Luke Ydstie à la contrebasse et backing vocals et de Kati Claborn , banjo, mountain dulcimer, ukulele, backing vocals. Ils vont nous délivrér une très agréable set d'ouverture au cours duquel ils vont interpréter une dizaine de titres issus des deux albums publiés à ce jour,3 Rounds and a Sound 2009)et We Are the Tide (2011). 
Leur prestation a été unanimement apprécié car leur musique indie folk est tràs agréable à l'oreille, les compositions sont solides, et la voix du chantoir tout particulièrement mélodieuse.
En ce qui me concerne une belle découverte.

Une demi-heure pour effectuer les changements de matériels et les sept musiciens de calexico entre entre scène.
Joey Burns s'intalle au milieu de la scène à sa gauche John Convertino.
En ouverture nous avons droit à Epic, premier titre d'Algiers, suivront ensuite des morceaux tirés d'Algiers (Splitter, Fortune, Teller, Para, Maybe On Monday...) et des compositions plus anciennes (Minas de Cobra,Inspiracion....),chantées en américain ou en espagnol.
L'assistance apprécie ce show très intime et sous l’impulsion des deux membres fondateurs le groupe se donne à fond, les cuivres étincellent.

                                      
Para - Official Video

Une heure trente plus tard les musiciens quittent la scène sous une ovation générale.
Quelques minutes se passent,le public en redemande.
Premier rappel. Joey Burns ramène revient accompagné des membres de Blind Pilot et nous avons droit à une interprétation commune, d'une chanson de Gillian Welch, chanteuse country ,"Look At Miss Ohio".
Viendront ensuite quatre autres titres dont le dernier pour terminer cette très belle sera "The Vanishing Mind",qui referme Algiers.

Merci à Joey Burns,John Convertino,Jacob Valenzuela,Martin Wenk, Sergio Mendoza,
Jairo Zavala et Volker Zander.


Calexico et Blind Pilot, à Madrid le 9 novembre 2012, interpretant lors du rappel "Look at Miss Ohio"

mercredi 14 novembre 2012

Blues sur Seine

Ayant eu l'occasion l'année dernière de découvrir qu'à proximité de mon domicile se déroulait un festival de blues, musique que j'affectionne tout particulièrement, j'avais pu assister à Epone, petite commune des Yvelines à un excellent concert de Thornbjorn Risager, bluesman venant du nord de l'Europe, peu connu dans l'hexagone, que je vous engage vivement à écouter. Je n'ai eu aucun mal à convaincre Mumu, présente lors du concert de Risager, et grande amatrice de musique américaine de m'accompagner pour assister à quelques unes de manifestations organisées dans le cadre du festival 2012.

Le Vendredi  9 novembre 2012, nous nous sommes donc rendus à Carrières-sous-Poissy,à l'espace Louis Armand, pour le concert d'Otis Taylor dont la première partie était assurée par Liz Green.
A notre arrivée vers 20 heures 30 nous avons pu accéder rapidement à l'intérieur de la salle située en limite de commune, en bordure d'un "no man's land" la séparant de Chanteloup les Vignes, 
A 21 heurs 15, après une brève introduction du président de l'association Blues sur Seine annonçant l' ouverture du festival et présentant les deux artistes au programme de la soirée, Liz Green accompagnée de ses trois musiciens entre en scène. Ils vont nous délivrer pendant trois quart d'heure une musique très agréable, interprétant les titres de l'album "O Devotion". Originaire de Manchester, son folk acoustique est typiquement britannique. Au cours de son set, enjoué, elle est passée avec aisance de la guitare au piano.


Midnight Blues Paris Février 2012 au Point Éphémère

Merci à elle et ses accompagnateurs Sam Buckley à la contrebasse, Gus Fairbairn au saxophone et Phil Howley à la batterie.

Après une pause d'une vingtaine de minutes c'est au tour d'Otis Taylor & Contraband d'entrer en scène
Demandé depuis plusieurs années par les organisateurs voici enfin ce monument du blues actuel.
Natif de Chicago, mais élevé dans le Colorado, Otis Taylor délivre un blues parlant essentiellement des conditions de vie difficiles des afro-américans. Multiinstrumentiste, il est l'auteur à ce jour d'une douzaine d'albums de très bonne facture dont le dernier en date s'intitule Contraband.


Le show donné au cours de cette soirée, sera de très bonne qualité. Il interprétera  avec son groupe plusieurs titres de son dernier album "Contraband", une très belle version de Hey Joe, Ten Million Slaves, issue de la bande originale du film Public Ennemi et quelques autres pépites.
Accompagné de très bons musiciens, la très sexy et virtuose violoniste Anne Harris, le discret mais efficace Jon Paul Johnson à la la guitare, Todd Edmunds à la basse et de l'excellent batteur Larry Thompson, Otis a ravi l'assistance.



Le lendemain samedi 10 novembre, nouvelle soirée blues, cette fois à la salle Jacques Brel de Mantes la Ville pour une très belle affiche. Sont en effet prévus ce soir là, Sallie Ford & The Sound Outside, Malted Milk et Lucky Peterson featuring Tamara Peterson.
A notre arrivée sur place vers 18 heures 15 déjà beaucoup de monde.
L'ouverture de la salle se fera vers 19 heures 20 un peu plus tard que prévu pour des raisons techniques.
Comme hier soir nous sommes très bien placés, puisque nous sommes au premier rang, et nous permet d'être au plus près des musiciens..


La première partie de la soirée sera assurée par Sallie Ford & The Outside Sound, nouveau groupe originaire de Portland - Oregon, auteur à ce jour d'un très bon album de rock and roll "Dirty Radio". La musique est énergique, sans esbrouffe, la voix rocailleuse.



Sallie Ford "Cage"

L'intégralité des titres de l'album sera interprétée ainsi que deux nouvelles compositions Addicted et Party Kids, plus une reprise de Buddy Holly. Les trois musiciens qui l'accompagnent, Jeff Munger, à la guitare, Ford Tennis à la batterie et Tyler Tonfelt à la basse sont à l'image de Sallie. Encore un très agréable moment et un franc succès devant une salle bien remplie ne demandant qu'à danser.

Un entracte d'une demi-heure va permettre au groupe suivant, la formation française Malted Milk, originaire de Nantes de s'installer et aux sept musiciens qui la composent de prendre possession de la scène pour un show qui va durer une heure, à l'issue duquel ils auront su mettre l'ensemble du public dans leur poche.
Délivrant une musique funky, l'ensemble des musiciens se sont donnés à fond et ont ont fait le spectacle. Aucun temps mort, une véritable machine à danser et une partie du nombreux public présent ne demandait que cela.

Pour vous convaincre écoutez !




Malted Milk


Après cette très belle et convaincante prestation, nouvelle pause pour permettre le changement de matériel. Une demi heure s'est écoulée lorsque déboule sur scène un grand gaillard armé d'une guitare, Shawn Kellerman, l'homme qui tire plus vite que son ombre et nous assène un instrumental tonitruant, un vrai guitar hero. Il est rejoint ensuite par Raul Valdes à la batterie et timothy Waites à la basse. Tous trois vont pendant une dizaine de minutes préparer l'arrivée de la vedette de la soirée Lucky Peterson.
Lorsqu'il se présente celui-ci va directement s'asseoir derrière l'orgue Hammond situé sur la gauche de la scène  et c'est parti pour une heure trente d'un récital soul-blues.
Après quelques titres il quittera son siège et s'emperera d'une guitare Fender Stratoscaster, dont il s'est si bien faire usage. Il descendra alors de la scène pour faire le tour de la salle et se mêler au public pendant une bonne quinzaine de minutes.
Il sera il l'issue de cette déambulation rejoint par son épouse Tamara, qui assurera jusqu'à la fin du show les parties vocales.
Le show se terminera vers minuit trente sous les acclamations.
Nous avons toutefois regretté que Lucky n'ait pas tenu autant que nous l'aurions souhaité la guitare, et le fait aussi que Tamara se soit trop imposée sur le devant de la scène, "volant" un peu la vedette à son cher et tendre époux sans doute très amoureux.



Lucky & Tamara Peterson


Vendredi 17 novembre à Magnanville, salle du Colombier, nouvelle soirée blues toujours avec Mumu. Au programme un duo féminin française "Isaya" et un monument du blues Bill Homans a.k.a Watermelon Slim.
Vers 20 heures 15 ouverture de cette toute petite salle de 200 places, très intime. Comme d'habitude nous nous installons au premier rang, situé à environ deux mètres de la petite scène.
20 heures 30 entrée en scène d'Isaya constitué de Caroline et Jessica, deux soeurs jumelles qui pendant une heure vont nous offrir une musique très agréable à l'écoute, à base de folk accoustique. Au cours de leur set elles interpréterons les titres de leurs deux E.P.


 

Caroline et Jessica

Un bref entracte d'une vingtaine de minutes et place à Watermelon Slim artiste très abordable qui sans manière s'était mêle au public avant de débuter sa prestation scènique.
L'artiste plein d'humour s'assied sur une chaise toute simple, installe sa guitare à plat sur ses genoux, nous informe qu'il n'y aura de chorégraphie n'étant pas Justin Timberlake et attaque son premier morceau.
Après quelques blues acoustiques il se lève et s'empare d'un harmonica  pour nous interpréter quelques compositions de de Sonny Boy Willamson.
Il s'empare ensuite d'un kalimba, lamellophone ou piano à pouces africain originaire de la Haute Volta pour nous interpréter I'm a Rock de Paul Simon.
Il regagnera ensuite son siège pour reprendre sa guitare et nous offrir quelques autres magnifiques blues.
Il terminera par un blues a cappella très prenant.
Ses thèmes de prédilection abordés dans ses chansons sont la mort, les relations entre les personnes et la vie de chauffeur routier dont il a exercé pendant une trentaine d'annnée le métier.
Au cours de cette très belle soirée il a rendu hommage également à Howl'in' Wolf et Bonnie Raitt.



  Watermelon Slim - Salle du Colombier le 17 novembre 2012






A l'issue du concert Watermelon Slim a en toute simplicité dédicacé ses disques. J'ai en ce qui me concert acquis en souvenir le c..d. "Up Close & Personnal" son préféré.
Ce moment de musique sincère, restera une très bon souvenir et sans doute une des  meilleures prestations à laquelle j'ai assisté cette année dans le cadre de ce festival.

Samedi 17 novembre, 21 heures à la maison de voisinage de Gargenville-Elisabeth ville, cerise sur la gateau puisque nous avons droit à un concert gratuit de Jeff lang, artiste australien interprétant un répertoire, mélange de rock, de roots, de folk , de blues, de ballades. 
J'avais pris de soin de réserver deux places dès fin septembre car je savais qu'un concert de qualité nous attendait dans cette petite salle ne pouvant accueillir que quatre vingt personnes.
A 21 heures 15, arrivée de Jeff lang, que nous avions pu cotoyer quelques instant auparavant  dans la salle d'accueil..
Une fois de plus avec Mumu nous occupons deux sièges au premier rang face à la toute petite scène.
Jeff s'empare d'une guitare electrique Valco Reso Phonic, procéde au règlage de son matériel composé d'un très grand nombre de pédales d'effets et se positionne sur un stompin'bass  qui va lui permettre de s'accompagner rythmiquement tout au long de la soirée.


Dans la première partie du show électrique,il démontrera sa virtuositié,extraordinaire guitariste,et très bon chanteur-compsiteur, un régal. Il est seul sur scène mais cela sonne comme un vrai groupe. Fantastique. Une trentaine de minutes plus tard il passse à la guitare electroacoustique, made by David Churchill et c'est reparti pour une belle démonstration de dextérité et de feeling.
Cette seconde partie musicale sera senseiblement de la même durée que la précédente. La troisième partie mettra en évidence son talent mondialement reconnu de joueur de lap steel guitar. Celle qui utilisera est une fabrication du même luthier. Jeff Lang se montera encore impressionnant.
Le show terminée Jeff reviendra pour un encore durant lequel il interpretera deux autres pièces de sa composition dont London. 
Pour garder un souvenir de cette très belle soirée, l'achat d'un de ses disques s'imposait, ce sera Cedar Grove, un opus de très bonne facture, que l'artiste nous dédicacera.
Merci à Blues sur Seine de nous avons offert ce concert, qui nous a permis de découvrir en live ce musicien de talent, qui mériterait plus de reconnaissance dans l'hexagone.




mercredi 7 novembre 2012

KAMELOT - Paris le 4 novembre 2012

Dimanche 4 novembre 2012, 17 heures 45 , le temps est beau mais frais sur Paris. Déjà une bonne centaine de fans font la queue devant le Bataclan pour le concert de Kamelot, laissant présager une belle affluence pour assister à la prestation de ce bon groupe. Avec mon amie Mumu nous apportons notre modeste contribution au  renforcement de cette file d'attente.
18 heures 15 c'est enfin l'ouverture des portes.

A 18 heures 30 précise début des hostilités avec l'entrée sur scène du groupe canadien  "Blackguard". Le set sera assez court, moins de trente minutes, mais "pêchu". Ce groupe dont nous entendions parler pour la première fois et dont nous ignorions jusqu'à ce jour l'existence s'est donné totalement, notamment son chanteur Paul Zinay. Malgré l'énergie déployée , ce type de musique avec chant "growl" n'est pas spécialement ma tasse de thé. Les quatre autres membres du groupe méritent également d'être cités pour leur entrain "Roadcase" Deschenes (guitar)  Étienne Mailloux (bass guitar), Justine "Juice" Ethier (drums) et Louis Jacques (lead guitar)

Un quart d'heure d’entracte pour un changement de matériel et  permettre l'entrée en scène du groupe suivant un quatuor norvégien répondant au nom de "Triosphère". Composé d'Ida Haukland (vocals & bass), Marius Silver Bergesen (lead guitar),Orjan Aare Jorgensen (drums) et Tor Ole Byberg (rhythm guitar) cette formation ne nous a pas convaincu. Délivrant une musique assez monotone du fait de composition assez moyennes et d'une chanteuse sans grand charisme à la voix monocorde, cette formation ne nous a pas enthousiasmés et les trente minutes durant lequelles elle s'est produite ont été été un peu longue. Deux disques à leur actif à ce jour mais la route vers la gloire sera sans aucun doute encore longue.

Nouvelle pause légèrement plus longue avec cette fois-ci un peu de temps consacré à la balance des instruments car l'on ne pas dire que jusqu'à présent le son ait été extraordinaire, il aurait même plutôt eu tendance à être franchement mauvais.

La mise en place terminée arrive en place le groupe allemand Xandria, formation pratiquant un rock à tendance gothique. Composé de Manuela Kraller au chant, Marco Heubaum, guitare et habituellement claviers, mais ceux-ci ont été remplacés pour l’occasion par des bandes, sans doute faute de place, dommage,Philip Restemeier, guitare, Nils Middelhauve à la basse et Gerit Lamm aux drums ce groupe a déjà plusieurs albums au compteur. Le dernier en date Neverworld's End étant sorti cette année. 



Leur prestation durera environ 40 minutes au cours des desquelles seront interprétées six de leurs compositions : Valentine, Blood on my Hands, Euphoria, Forevermore ,The Lost Elysion et Ravenhart. Musique très proche de celle de Nightwish sans en atteindre les sommets. Un bon moment cependant en attendant Kamelot.




Kamelot au Bataclan  interprétant Karma

Il est environ 21 heures15 quand Kamelot entre en scène devant une salle malheureusement moyennement remplie. Il interprète d’entrée deux classiques du groupe « Rule the World » et « When the Lights are Down ». Le son est moyen la guitare de Thomas Youngblood peu audible, par un mauvais mix sans doute et une batterie trop puissante. Le son s’améliorera  heureusement pas la suite. Le nouveau chanteur Tommy Karevik est à la hauteur des attentes et assure parfaitement son rôle. Il n'est pas sans rappeler Roy Khan son prédécesesur.
Puis vient « The Great Pandemonium”  suivi d'un premier titre "Veritas" extrait du nouvel et excellent "Silverthorn" Le groupe enchaine ensuite "Center of the Universe"  et  "The Human Stain ". Le public apprécie.
Puis seul Casey Grillo reste sur scène pour nous gratifier d'un bon petit solo de batterie à l'issue duquel il est rejoint par ses accolytes pour l'agréable ballade tirée du dernier opus "Song For Jolee" dans laquelle excelle Tommy Karevik qui quelques instants plus tard fêtera son anniversaire sur scène bien qu'il soit né un 1er novembre.
Ensuite alternent nouveautés et classiques du groupe. En rappel deux titres phares "Karma" et "March of Mephisto"
Le show n'aura duré qu'un une heure trente, un peu court tout de même et c'est dommage. Merci toutefois aux membres de Kamelot, Thomas Youngblood, Casey Grillo, Olivier Palotai, Sean Tibbetts, et Tommy Karevik et à la choriste  Elize Ryd du groupe Amaranthe.


Pour conclure voici la set list : Rule the World - When the Lights are Down - The Great Pandemonium - Veritas - Center of the Universe - The Human Stain - Song for Jolee - Drum Solo (Casey Grillo) - Ghost Opera - Sacrimony (Angel of Afterlife) - Season's End - Keyboard Solo (Oliver Palotai) - Forever et en rappel  Karma - Torn et March of Mephisto



samedi 20 octobre 2012

Muse à Bercy


Jeudi 18 octobre, après Montpellier c'est au tour de Paris d'accueillir Muse dans le cadre de la tournée "The 2nd Law".
16 heures 15 déjà beaucoup de monde devant le P.O.P.B., à attendre l'ouverture des portes, tous en quête de la meilleur place dans la salle. Avons ma grande amie Mumu nous prenons tout de même le temps de nous restaurer rapidement dans un fast-food de Bercy Village puis nous regagnons le lieu du concert. Nous nous nous apprêtons à faire la queue lorsque  le ciel se déverse sur la capitale.
A 17 heures 45 sous une pluie battante c'est enfin l'ouverture des portes, la foule des fans se rue vers l'entrée.
Après avoir franchi trois postes de filtrage nous nous installons dans une des travées de l'entrée D.  De nos places la scène est bien en vue.
La salle se remplit très vite, un public jeune dans l'ensemble, les deux sexes étant également représentés.
A 19 heures 30  précises, les lumières s'éteignent et le groupe Joy Formidable entre en scène pour un set de 45 minutes.
Ce groupe gallois composé de Ritzy Bryan au chant et guitare, Rhydian Dafydd ,chant et basse et Matt Thomas à la batterie, délivre une pop vitaminée, appréciée du public qui lui prête attention.
Le speaker annonce une pause de 30 minutes mais qui sera en fait de trois quarts d'heure.
21 heures les premières notes remplissent Bercy en délire et c'est parti pour une heure quarante cinq d'un show époustouflant techniquement, un son parfait, des effets spéciaux grandioses.




Les morceaux vont s’enchaîner sans temps mort : The 2nd Law : Unsustainable,Supremacy, Map of the Problematique (With Who Knows Who Riff Outro),Supermassive Black Hole, Reistance, Panic Station, Animals, Animals, Monty Jam (Drums and Bass Jam), Explorers.

Matthew Bellamy s'installe au piano pour Falling Down et Host dont seule la première partie sera interprétée. Ensuite suivra Time is Running Out.

Bellamy cède quelques minutes sa place à Christopher Wolstenholme qui nous interprète Liquid State, titre assez moyen mais cela n'engage que moi.

Retour du frontman habituel et leader incontesté du groupe pour Madness, Follow Me, Undisclosed Desires, Plug in Baby, Stockholm Syndrome.

Le groupe quitte la scène quelques instants et revient pour un premier encore durant lequel seront interprétées The 2nd Law: Isolated System, Uprising et Knights of Cydonia introduit par le thème de l'Homme à l'Harmonica d'Ennio Moriconne, cet homme étant ici le bassiste .

Lors du second encore seront interprétées Starlight repris en choeur par les 17 à 18000 spectateurs et Survival qui clôturera cette superbe soirée.

N'oublions surtout pas dans nos remerciements pour ce fantastique show le quatrième larron Morgan Nicholls, "soutien" indispensable du groupe aux claviers, restant dans l'ombre.


Matthew Bellamy, Dominic Howard et Christopher Wolstenholme interprétant "Starlight".

lundi 23 juillet 2012

Bruce Springsteen - Independance Day 2012



Mercredi 4 juillet 2012, Bruce Springsteen se produit à Palais Omnisport de Paris Bercy.
Accompagné de Muriel nous avons assisté au premier des deux concerts donnés à paris dans le cadre de la tournée Wrecking Ball.

Très belle journée sur la capitale, avec une fois de plus beaucoup de circulation pour accèder au P.O.P.B.
Dès 18 heures déjà beaucoup de monde sur l'esplanade et les escaliers..

Les fans font déjà la queue devant le stand de merchandising. Comme malheureusement c'est souvent le cas les prix sont élèves. Tarif fort, pas de crise pour le business. Les fans vont devoir lâcher quelques billets.

Pas de première partie au programme, vers 20 heures 20 apparition d’Antoine De Caunes, égal à lui même pour annoncer l'arrivée de la star sur scène, et prévenir également de trois coupures de courant survenues au cours de l'après midi lors des répétitions.

20 heures 35 arrivées des musiciens et de Bruce sur la scène ; l'Arena pleine à craquer, les places derrières la scène ayant été mise à la vente,  est déjà toute acquise au Boss.

Intro sur la vie en Rose, puis démarrage en trombe avec "We Take Care Of Our Own" et "Wrecking Ball" suivis de "Badlands" Nous avons ensiiote droit à Death to My Hometown, My  City of Ruins, Spirit in The Night, The E Street Shuffle, puis "4th of July, Ashbury Park(Sandy) joué à l'occasion de la Fête Nationale et pour la première fois sur cette tournée.
Le show continue avec "Jack of All Trade" suivi d'un "Because the Night " sur lequel se déchaine à la guitare l’excellent Nils Lofgren.
Ensuite une série de classiques "Darkness on the Edge of Town', "Johnny 99" et 'Darlington County" suivi de Easy Money, interprété pour la première fois en Europe, partage avec Patti Scialfa .
Ensuite viendront "Waint'in' on a Sunny Day", "Promised Land", "Appolo Medley" après lequel Bruce s’installera au piano pour nous interpreté seul  un superbe "Independance Day" à couper le souffle.
Après ce beau moment c'est reparti pour un "The River", repris en choeur par le public.
Au programme suivront"The Rising","Out in the Street' et "Land of Hope and Dream".

Lors de l'Encore seront proposé "We are Alive", l’inévitable "Born in The USA", "Born to Run", Bobby Jean" "Dancing in the Dark", "Tenth Avenue Freeze-out" et pour conclure ce très beau show de trois heures trente "American Land"
Bruce n'a pas oublié de saluer son ami disparu Clarence Clemons.

Bruce et le E Street ont été ce soir à la hauteur de nos attentes, le Boss s'est donné totalement comme  à son habitude. Peu de groupe peuvent se targuer de faire ainsi le spectacle. Ce soir le E Street était composé de Stevie Van Zandt, guitare, de Nils Lofgren, guitare, de Garry Tallent à la basse, de Roy Bittan aux Claviers, de Max W>einberg aux drums et percussions, de Patti Scialfa, vocaux et guitare acoustique.
Ils sont renforcés par Charles Giordano, claviers et accordéon, Soozie Tyrell, violons et guitare acoustique ainsi que par Curtis King, Michelle Moore, Cindy Mizelle aux vocaux, Everett Bradley, vocaux et percussions.
La section cuivre se compose de  Jake Clemons et Ed Manion au saxophone, Clark Gayton au trombone, Barry Danielian et Curt Ramm à la trompette*




vendredi 25 mai 2012

An Appointment With The Waterboys


Jeudi 24 mai, très belle journée ensoleillée sur Paris, 29° et cerise sur le gâteau, venue du groupe The Waterboys amené par leur leader charismatique Mike Scott, au Bataclan, boulevard Richard Lenoir. Leur dernier show dans la capitale remonte à 2004, une éternité.

Avec mon amie Muriel, nous avons pris position tout contre la scène pour profiter au maximun de la prestation du groupe.

En première partie dès 19 heures 30 un jeune chanteur talentueux Neeskens, qui interprétera 6 titres, s'accompagnant d'une guitare acoustique amplifiée. Comme toujours difficile d'ouvrir la soirée. Si une partie de l'assistance sut apprécier sa prestation intimiste à sa juste valeur, le brouhaha occasionné par les consommateurs du bar fut des plus déplaisant et perturbant pour l'artiste.

20 heures 30, arrivée des Waterboys qui vont nous délivrer deux heures d'un spectacle de très haut niveau, au cours duquel ils interpréteront dix neuf titres.
Le groupe composée de Mike Scott au chant et aux guitares, de Steve Wickam au violon, de Joe Chester à la guitare, de marc Arciero à la basse, de James Hallawell aux claviers et de Ralph Salmins, batteur habité, qui martèlera ses fûts comme un damné.


Le show a été intense, le groupe se donnant à fond derrière Mike Scott, superbe chanteur. Au programme de la soirée, des morceaux anciens, "A Girl Called Johnny", "The Whole of The Moon"," Be my Enemy","The Pan Within", plusieurs titres de leur dernier opus "An Apointement with Mr Yeats",  disque par ailleurs excellent du début à la fin. Pour clore la soirée en beauté un Fisherman's blues endiablé à souhait, pour le plus grand bonheur d'un public ravi par une si belle prestation.


Un seul regret pour ce qui me concerne, Peace of Iona, n'a pas été au programme.
Il est permis de se demander pourquoi un tel groupe, a une audience aussi confidentielle. Il est vrai que sa musique n'est sans doute pas dans l'air du temps, ce n'est pas un vulgaire produit de consommation que l'on jette après usage. Cette musique est réservée à ceux qui savent ce que le mot qualité veut dire. Dommage tout de même.

01. The New Life (on "Dream Harder")
02. Rags (on "A Pagan Place")
03. Killing My Heart / Everybody Needs Somebody To Love (on "Best Of The   Waterboys")
04. The Thrill Is Gone (on "A Pagan Place")
05. A Girl Called Johnny (on "The Waterboys")
06. The Girl In The Swing (on "The Waterboys")
07. How Long Will I Love You (on "Room to Roam")
08. White Birds (with false start) (on "An Appointement with Mr Yeats")
09. Glastonbury Song (on "Dream Harder")
10. Mad As The Mist And Snow > The Second Coming (on "An Appointement with Mr Yeats")
11. An Irish Airman Foresees His Death (on "An Appointement wiht Mr Yeats")
12. Be My Enemy (on "This is the Sea")
13. Let's Go to the Hop (At The Hop - (Arthur Singer, John Madara and David White)
14. Has Anybody Here Seen Hank (on"Fisherman's Blues")
15. The Pan Within (on "This is the Sea")

16. ~encore applause~
17. Don't Bang The Drum (on "This is the Sea")
18. The Whole Of The Moon (on "This is the Sea")
19. A Man Is In Love (on "Room to Roam")
20. Fisherman's Blues (on"Fisherman's Blues")
21. Thanks 







dimanche 13 mai 2012

Metallica "Enter sandman" Stade de France, Paris May 12 2012


Metallica au Stade De France - Saint Denis (93)


Samedi 12 Mai, voici enfin ce jour attendu avec une grande impatience par certains (es), la venue du groupe mythique originaire de San Francisco pour sa seule prestation en France à l'occasion de la tournée anniversaire du Black Album.

16 heures, j'arrive sur place, accompagné d'une grande fan, Muriel. Nous serons rejoints un peu plus tard par un autre grand suiveur du groupe Frédéric.
Sur l'esplanade du stade, déjà beaucoup de monde. Un nombreux public tout de noir vêtu, comme cela est de mise à chaque concert du groupe, est déjà présent. Sur les terrasses des cafés environnants la bière coule à flot, au son des disques du groupe.
17 heures 30, ouverture des portes, nous gagnons nos places situées dans la travée haute C9.
Le stade se remplit peu à peu, le concert est sold-out depuis longtemps, seules quelques places sont encore disponibles afin d'éviter les reventes habituelles par les profiteurs sévissant lors de ce type d'évènement.
A 19 heures le groupe de trash metal, Gojira, entre en scène pour un set d'une trentaine de minutes qui reçoit un assez bon accueil du public de la fosse.
Personnellement ce type de musique me laisse insensible.
A 19 heures 50 c'est au tour des Kills d'entrer en scène, ce très bon groupe de garage composé de la chanteuse américaine Allison Mosshart et du guitariste anglais Jamie Hince n'a malheureusement pas reçu un très bon accueil et s'est produit dans l'indifférence générale. Une erreur de casting pour accompagner Metallica.
Dommage. Mais de nos jours difficile d'ouvrir pour un groupe célèbre, la majorité des spectateurs ne viennent que pour voir leur groupe vedette.
20 heures 30 fin de la prestation scènique des Kills. Les roadies de Metallica prennent possession des lieux et finissent d'installer le matériel et procédent aux derniers réglages.
21 heures, le public impatient commence à scander le nom de Metallica. Enfin à 21 heures 15 commencent à résonner les premières notes de The Ecstasy of Gold, musique d'Ennio Moriconne qui sert à introduire le groupe depuis des années. Metallica apparait et attaque le show avec Hit The Lights qui sera suivi de Master of Puppets. Le ton est donné.
James Hetfield, Kirk Hammett, Lars Ulrich et Robert Trujillo sont entrés dans le vif du sujet.
Ils enchainent avec, No remorse, For whom the bell tolls et Hell and Back.
Survient alors une pause pour présenter le Black Album, dont c'est le vingtième anniversaire, anniversaire fêté par cette tournée.
Va suivre l’interprétation des douze titres de cet album mythique, mais en commençant par le dernier titre.
Le show est superbe, le public conquis. C'est grandiose. Le son est parfait, il était permis de craindre le pire dans ce genre de structure.
En rappel trois titres, Battery, One et pour conclure Seek and Destroy.
Le groupe comme à son habitude remerciera longuemment son public," The Family" et exhibera le drapeau français, marqué du logo du Black Album. Ainsi se terminera le plus grand show, du moins par la taille, qu'ait donné le groupe en France.
Le public se dispersera ensuite dans une ambiance bon enfant, ravi de la prestation de haut niveau à laquelle il venait d'assister. 




mercredi 28 mars 2012

Elliott Murphy au New Morning - Vendredi 23 mars 2012


Vendredi 23 mars se produisait au New Morning  à Paris, Elliott Murphy et son All Stars band.
En première partie son fils avec le groupe Duplex, qui ne laissera pas une trace impérissable dans nos esprits, une musique gentillette ; le groupe a été rejoint par Murphy père pour une reprise de Dancing in The Dark de Springsteen, massacrée n'ayant pas peur des mots. La route sera longue pour ce jeune groupe..

Vingt et un heure quinze début de la prestation d'Elliott qui durera deux heures et quart environ. Je suis un grand fan d'Elliott, dont je possède l'intégralité de la discographie, mais je ne l'avais vu qu'une seule fois à ce jour à ses débuts. C'était au Palais des Sports, porte de Versailles, en première partie de Rory Gallagher ; cela avait été très difficile, le public n'étant pas venu pour lui., ayant eu un comportement des plus déplaisant. 

Ce vendredi Elliott a fait le show et a interprété les chansons suivantes :

Big Sky/Hangin' Out/The Best Kiss/Jet-Lag/Take That Devil Out Of Me/You Don't Need To Be More Then Yourself/Rain, Rain, Rain/Take Your Love Away/You Never Know What You're In For/Last Of The Rock Stars/Rock n' Roll n' Rock n' Roll n' Rock n' Roll/Everything I Do (Leads Me Back To You)/hen You Start Crying//Diamonds By The Yard/Come On Louann/Drive All Night/Born To Be Wild/Rockin' In The Free World/Green River/Just A Story From America/Twist And Shout 

Le public composé essentiellement de fans très fidèles et de" lecteurs de Télérama" a apprécié cette prestation de très bonne tenue. Accompagné par des musiciens originaires du Havre, dont Olivier Durand, guitariste virtuose, mais un peu poseur.
Ce fut une très bonne soirée à laquelle j'ai pu assister avec une très grande fan, Muriel.

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Discographie :

Just a story from New York (2012)
Elliott Murphy (2011 )
Alive In Paris (2010)
Notes from the Underground ( 2008 )
Coming Home Again ( 2007 )
Never Say Never ( 2005 )
Murphy Gets Muddy ( 2005 )
Strings Of The Storm ( 2003 )
Soul Surfing ( 2002 )
The Next Wave ( 2002 )
Last Of The the Stars ( 2001 )
Rainy Season ( 2000 )
La Terre Commune ( 2000 )
April ( 1999 )
Beauregard ( 1998 )
Diamonds By the Yard ( 1992 )
If Poets Were King ( 1991 )
12 ( 1990 )
Live Hot Point ( 1989 )
Change Will Come ( 1988 )
Aprés le Déluge ( 1987 )
Milwaukee ( 1986 )
Party Girls And Broken Poets ( 1984 )
Murph The Surf ( 1982 )
Affairs ( 1980 )
Just A Story From America, ( 1977 )
Nights ligths ( 1976 )
Lost generation ( 1975 )
Aquashow ( 1973 )

vendredi 16 mars 2012

Disque du jour

Aujourd'hui j'ai choisi de vous parler de l'album "Top Priority", 8ème enregistrement studio sous son nom.
Retour à la formule  trio avec toujours à la basse le fidèle Gerry McAvoy et aux fûts Ted McKenna.
Publié à 1979, cet opus s’oriente vers un rock beaucoup plus brut et violent avec de très solides compositions, qui deviendront des classiques incontournables lors des prestations scéniques qui suivront. On retiendra donc parmi les neufs titres de ce disque, Follow Me, Philby avec un superbe solo à la guitare Coral Sitar, prêtée à  par Pete Townsend des Who, Bad Penny.
Immense guitariste, qui ne doit pas tomber dans l'oubli, sans doute l'un des meilleurs, le meilleur selon Jimi Hendrix, Rory faisait corps avec sa guitare Fender Stratocater. L'un des rares guitaristes à ne as utiliser de pédales d'effets, un ampli vox AC 30, la plupart du temps.

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Fabuleux sur scène, , j'ai eu l'occasion de pouvoir l'apprécier une dizaine de fois sans jamais être déçu. Les prestations de cet irlandais de Ballyshannon étaient toujours d'un haut niveau, un musicien sans compromissions malheureusement décédé trop tôt.
Tous ses albums sont hautement recommandables.

jeudi 15 mars 2012

Concert de Chris Rea

Hier soir l'Olympia accueillait de nouveau Chris Rea dans le cadre du Santo Spirito Blues Tour. Pas de première partie comme c'est toujours le cas avec Chris Rea. Nous avons pu assister à un bon concert, sans surprise. La setlist composée des titres suivants a alterné hits et blues :


The Last Open RoadWork GangWhere the Blues Come FromJosephineEasy Rider'Til the Morning Sun Shines on My Love and MeLooking for the Summer
Julia , Stony Road , Come So Far, Yet Still So Far to Go , Somewhere Between Highway 61 & 49 , Stainsby GirlsThe Road to Hell (Part 1) , The Road to Hell (Part 2) 

Assez étrangement un seul titre du dernier opus, Santo Spirtito Blues a été interprété
Il a démontré tout au long de ce show ses qualités de guitariste, usant abondamment du bottleneck.
Sa voix est toujours aussi agréable.

L'on a pu regretter toutefois la fin du spectacle à la suite du rappel, Chris et son groupe ont quitté la scène sans revenir saluer, ce qui a laissé quelques peu surpris.


lundi 12 mars 2012

The Rolling Stones Archives

Les Stones ouvrent leurs archives. Depuis Quelques temps ils ont décidé de mettre en ligne quelques concerts, dont tout bon fan qui se respecte possédait le 'bootleg"
En téléchargement pour un prix relativement modique, mais les Stones n'attendent sans doute plus après cela, quoique, deux très bons shows sont mis en ligne :
Brussels Affair sorti en enregistrement pirate dès 1973, les Stones empêchés de jouer en France suite à une affaire d'usage de substances illicites avaient organisé ce concert en octobre de la même année.

Le son de cet enregistrement est superbe, bien meilleur que celui des disques enregristrement circulant jusqu'à présent qui étaient déjà de très bonne qualité.
Bob Clearmountain a remixé le concert en se basant sur les pistes d'époque enregistrées par Andy Johns. C'était la grande époque Bill à la basse, Mick Taylor,Billy Preston aux claviers. Un must.

La deuxième publication est le concert donné au Hampton Coliseum - Virginie - en décembre 1981, un des derniers show s de la tournée Tattoo You. Un grand concert. 22 morceaux au programme, à cette époque la formation était la suivante :

Mick Jagger - vocals, guitar, keyboards, harmonica
Keith Richards - guitars, vocals
Ron Wood - guitars, vocals
Bill Wyman - bass
Charlie Watts - drums
Ian McLagen - keyboards, vocals
Ian Stewart - keyboards
Ernie Watts - saxophone
Bobby Keyes - saxophone

La réserve des Stones en enregistrements publics est immense, la suite au prochain numéro.

mercredi 7 mars 2012

Noel Gallagher, le retour

Après un passage remarqué au Casino de Paris,le 6 décembre 2011, Noel Gallagher était de nouveau à Paris au Grand Rex avec ses High Flying Birds pour un concert sold-out. J'ai eu la chance de pouvoir assister à ce show.
En première partie un très bon groupe du nord de l'Angleterre les Folks venus présenter leur premier disque "I See Cathedrals" Il s'en sorti avec les honneurs, offrant de belles compositions.
A 21 heures le show de Noel, sans son frère démarrait par un premier morceau, qui donnait immédiatement la tonalité de se concert, relativement court, une heure trente, mais intense. La setlist de 20 morceaux s'équilibrait entre chansons d'Oasis (9) et compositions récentes de cette nouvelle formation. Un inédit au programme, Freeky Teeth.
Le concert s'est terminé par une reprise d'Oasis, son grand classique "Don't Look Back In Anger reprise en choeur par l'assistance.

mardi 6 mars 2012

Wilco On Tour

Hier soir au Grand Rex l'occasion m'a été donnée d'assister  avec Muriel à un fantastique concert du groupe américain du groupe Wilco, deux heures de prestation d'un groupe de très haut niveau musical.
Une excellente setlist puisant dans le dernier disque The Whole Love et dans des albums plus anciens :


1.   Art of Almost 
2.   I Might 
4.   One Wing 
7.   Black Moon 
10.               Born Alone 
11.               Laminated Cat 
12.               Via Chicago 
13.               Whole Love 
14.               Box Full of Letters 
15.               Capitol City 
16.               Handshake Drugs 
17.               Dawned on Me 
18.               A Shot in the Arm 
19. Encore:
19.               Misunderstood 
20.               Jesus, Etc. 
21.               Theologians 
22.               Heavy Metal Drummer 
23.               I'm the Man Who Loves You 
24.               I'm a Wheel 




Wilco amené par son leader John Tweedy a connu de nombreux changements de personnels, la formation qui s'est produite hier s' est montrée brillante, tous les musiciens étant excellents. Encore peu connus sous nos contrées, prenezt le temps d'écouter leurs albums, vous ne regretterez pas.